Le maintien en zone d’attente d’un étranger peut être prolongé au-delà de quatre jours par le juge des libertés et de la détention, sans excéder huit jours. Cette prolongation doit être justifiée par l’exercice effectif des droits de l’étranger. L’absence de garanties de représentation ne justifie pas, à elle seule, le refus de prolongation. Le juge ne peut pas examiner les documents présentés ni évaluer le risque migratoire, car cela relève de l’appréciation des éléments de la décision de refus d’entrée.
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