Madame [P] [W] a été engagée par l’association APF FRANCE HANDICAP en tant que comptable au SESSAD d'[Localité 5] depuis le 2 juin 2003. Après un arrêt de travail débuté le 1er avril 2019, elle a été déclarée inapte par le médecin du travail en octobre 2019. Suite à un entretien préalable, son licenciement pour inaptitude a été notifié le 15 avril 2020. Madame [W] a contesté ce licenciement, invoquant un harcèlement moral. Le tribunal a finalement déclaré le licenciement nul, ordonnant à l’association de verser plusieurs indemnités, y compris pour préjudice moral.. Consulter la source documentaire.
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Quel est le cadre juridique du désistement d’appel selon le Code de procédure civile ?Le désistement d’appel est régi par les articles 384 à 403 du Code de procédure civile. L’article 384 précise que « l’appelant peut se désister de son appel ». Ce désistement doit être pur et simple, sans réserve, ce qui signifie qu’il ne doit pas être conditionné à un accord ou à une contrepartie. L’article 385 stipule que « le désistement d’appel est notifié à l’autre partie ». Dans le cas présent, la société IENA a notifié son désistement à Madame [F], ce qui est conforme à la procédure. Les articles 400 à 403 traitent des conséquences du désistement. L’article 400 indique que « le désistement d’appel entraîne l’extinction de l’instance ». Cela signifie que l’affaire est considérée comme n’ayant jamais été portée devant la cour. Enfin, l’article 405 précise que « le désistement d’appel ne peut être opposé à la partie adverse que si elle y a consenti ». Dans cette affaire, Madame [F] a accepté le désistement, ce qui valide la procédure. Quelles sont les conséquences du désistement d’appel sur l’instance ?Les conséquences du désistement d’appel sont clairement établies dans le Code de procédure civile. L’article 400, comme mentionné précédemment, stipule que « le désistement d’appel entraîne l’extinction de l’instance ». Cela signifie que la cour ne peut plus statuer sur l’affaire, et celle-ci est considérée comme close. De plus, l’article 401 précise que « lorsque l’appel est désisté, la cour doit constater l’extinction de l’instance ». Dans le cas présent, la cour a bien constaté cette extinction, ce qui est conforme à la législation. L’article 402 indique que « les dépens restent à la charge de la partie qui a succombé ». Dans cette affaire, il a été décidé que, sauf meilleur accord des parties, les dépens resteront à la charge de la société IENA, ce qui est une application directe de cet article. Enfin, l’article 403 précise que « le désistement d’appel ne peut être opposé à la partie adverse que si elle y a consenti ». Ici, l’acceptation du désistement par Madame [F] a permis de valider cette procédure. Comment se déroule la procédure de désistement d’appel ?La procédure de désistement d’appel est encadrée par plusieurs articles du Code de procédure civile, notamment les articles 384 à 403. L’article 384 permet à l’appelant de se désister de son appel, ce qui doit être fait par écrit et notifié à l’autre partie. L’article 385 exige que ce désistement soit notifié à l’autre partie, ce qui a été respecté dans cette affaire par la société IENA. Ensuite, l’article 400 stipule que « le désistement d’appel entraîne l’extinction de l’instance ». Cela signifie que la cour doit constater cette extinction, ce qui a été fait dans le jugement. L’article 401 précise que la cour doit constater l’extinction de l’instance, ce qui a également été respecté dans cette décision. Enfin, l’article 403 indique que le désistement ne peut être opposé à la partie adverse que si elle y a consenti. Dans ce cas, Madame [F] a accepté le désistement, ce qui a permis de clore l’affaire de manière légale et conforme aux dispositions du Code. |
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