Plusieurs associations, dont AIDES et le Syndicat de la magistrature, ont saisi le Conseil d’État pour annuler le décret créant le traitement automatisé de données personnelles CRISTINA, destiné à répertorier des informations sur le terrorisme. Ce fichier, mis en place par le ministère de l’Intérieur après la fusion des RG et de la DST, suscite des inquiétudes en raison du caractère « secret défense » du décret définissant les données à stocker. Le Conseil d’État a ordonné un supplément d’instruction pour obtenir ce décret, soulignant les enjeux de transparence et de protection des données personnelles.
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