Le contrat de référencement impose au prestataire une obligation de moyen, ce qui signifie qu’il doit déployer des efforts raisonnables pour atteindre les objectifs fixés. Cependant, cette obligation n’exclut pas la responsabilité en cas de manquement. Dans une affaire récente, un prestataire a été jugé fautif pour avoir tardé six mois à conseiller une refonte du site, malgré des résultats insatisfaisants. La juridiction a souligné que le prestataire n’avait pas respecté ses engagements, entraînant une dégradation du référencement du client. Ainsi, le non-respect des délais et des efforts nécessaires peut engager la responsabilité du référenceur.
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