Une société a lancé une campagne publicitaire en France pour ses produits de puériculture, en s’appuyant sur les performances de vente d’une marque partenaire. Cette stratégie a induit en erreur les consommateurs, lui permettant de revendiquer des parts de marché qui appartenaient à son ancien partenaire. Le tribunal a reconnu un préjudice de 200.000 euros, considérant que la société avait cherché à profiter de la renommée de l’autre marque, ce qui constitue un comportement parasitaire et fautif. Toutefois, le tribunal n’a pas retenu le parasitisme concernant les emballages, jugés suffisamment distincts.
Pour accéder à ce contenu juridique premium inscrivez-vous ici.