Au cours de janvier 2017, Mme [V] a accumulé des retards répétés dans la prise de son service, suscitant des plaintes de la part du magasin Printemps où elle travaillait. Ces manquements à son obligation de ponctualité ont entraîné une désorganisation qui a rendu impossible la poursuite de son contrat de travail. En conséquence, son licenciement a été jugé justifié, sans cause réelle et sérieuse. La cour d’appel d’Aix-en-Provence a confirmé le jugement du conseil de prud’hommes, déboutant Mme [V] de sa contestation. Le jugement a ainsi validé la décision de licenciement pour faute.
Pour accéder à ce contenu juridique premium inscrivez-vous ici.