Dans une coproduction audiovisuelle, bien que les coproducteurs puissent avoir une participation égale, leur rémunération peut varier. Dans une affaire jugée par le Tribunal judiciaire de Paris le 6 décembre 2011, la société NAÏVE, ayant investi 10 000 euros, ne recevait que 5 % des recettes nettes, contrairement à un autre coproducteur ayant également investi la même somme, mais bénéficiant de 20 %. Cette situation soulève des questions sur l’équité des contrats de coproduction et la transparence des accords financiers entre les parties impliquées.
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