La présence de journalistes lors d’une interpellation ou d’une perquisition ne constitue pas une violation de la vie privée si la personne concernée n’est pas identifiable. Dans l’affaire « Pièces à conviction », un producteur et un diffuseur ont été poursuivis pour avoir filmé une perquisition, mais la plainte a été rejetée. Bien que des images de l’immeuble et de l’appartement aient été capturées, les visages des personnes étaient floutés et leurs noms non mentionnés, rendant ainsi leur identification impossible. Cette décision souligne l’importance de la protection de la vie privée dans le cadre de la couverture médiatique.
Pour accéder à ce contenu juridique premium inscrivez-vous ici.