Dans un reportage diffusé par TF1 sur le tourisme sexuel à Madagascar, un particulier a contesté l’utilisation de son image et de sa voix, affirmant ne jamais avoir donné son accord. Malgré un floutage de son visage, il était identifiable par sa stature, ses vêtements et sa voix. Les sociétés TF1 et TF1 Production ont tenté de justifier la diffusion en invoquant le droit à l’information, mais la cour a jugé que cela ne pouvait pas primer sur le respect de la vie privée. Les juges ont souligné que des mesures d’anonymisation auraient pu être mises en place pour protéger l’individu.
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