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L’article L 743-23, alinéa 1, du code de l’entrée et du séjour des étrangers stipule qu’en cas d’appel manifestement irrecevable, celui-ci peut être rejeté sans convocation préalable des parties. L’intéressé doit contester la légalité de l’arrêté de placement en rétention dans un délai de quatre jours suivant la notification. En l’espèce, l’appelant n’a pas respecté…
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L’article L 743-23, alinéa 1, du Code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile stipule qu’en cas d’appel manifestement irrecevable, celui-ci peut être rejeté sans convocation préalable des parties. Selon l’article L. 741-10, l’arrêté de placement en rétention doit être contesté dans un délai de quatre jours, sans quoi le moyen…
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Le juge judiciaire est compétent pour examiner les irrégularités affectant les procédures de rétention administrative, garantissant ainsi le respect des droits individuels. Selon l’article L. 743-12, le juge ne peut ordonner la mainlevée que si l’irrégularité a substantiellement porté atteinte aux droits de l’étranger. Le défaut de notification des droits en garde à vue est…
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L’article L. 743-13 du code de l’entrée et du séjour des étrangers stipule que le juge peut ordonner l’assignation à résidence d’un étranger disposant de garanties de représentation, sous réserve de remettre un passeport valide. L’intéressé a remis son passeport valide, pris en possession par l’administration. L’assignation à résidence implique une obligation de présentation quotidienne…
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L’article L. 743-13 du code de l’entrée et du séjour des étrangers stipule que le juge peut ordonner l’assignation à résidence d’un étranger disposant de garanties de représentation, à condition qu’il remette un passeport valide. L’intéressé a remis son passeport, permettant à l’administration de le conserver. Il a prouvé sa résidence effective chez sa sœur,…
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Il appartient au juge judiciaire de se prononcer sur les irrégularités affectant les procédures préalables à la rétention. Selon l’article L. 743-12, toute juridiction ne peut prononcer la mainlevée de la mesure de placement en rétention que si la violation des formes prescrites a substantiellement atteint les droits de l’étranger. Le contrôle d’identité doit être…
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Les conditions de prolongation de la rétention administrative sont définies par l’article L. 742-5. Le juge peut prolonger la rétention au-delà de la durée maximale si certaines situations se présentent, telles que l’obstruction à l’éloignement ou la demande d’asile. L’appréciation de la menace pour l’ordre public doit être effectuée in concreto, en tenant compte d’indices…
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La rétention administrative d’un étranger ne peut être ordonnée que pour une durée strictement nécessaire à son départ. L’administration doit exercer toute diligence pour assurer ce départ dans les meilleurs délais, impliquant une évaluation continue de la nécessité de maintenir l’étranger en rétention. Le juge doit s’assurer que l’étranger est informé de ses droits et…
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Un étranger ne peut être placé ou maintenu en rétention que pour le temps strictement nécessaire à son départ. L’administration doit agir avec diligence, rapidité et efficacité. Le juge doit s’assurer que l’étranger est informé de ses droits et peut les faire valoir. En cas de violation des formes prescrites, la mainlevée de la rétention…
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L’article 66 de la Constitution française garantit le droit à la liberté individuelle, imposant un contrôle judiciaire sur toute privation de liberté. En matière de rétention administrative, le juge doit s’assurer que l’étranger est informé de ses droits. Toute violation des formes prescrites par la loi peut entraîner la nullité de la mesure de rétention.…
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L’appel interjeté par Monsieur [L] contre une ordonnance du Tribunal judiciaire de Nîmes est recevable, selon les articles L.743-21 et R.743-10 du Code de l’entrée et du séjour des étrangers. L’article L.743-12 précise que le magistrat ne peut prononcer la mainlevée de la rétention qu’en cas de violation des formes légales ayant porté atteinte aux…
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L’appel interjeté par Monsieur [R] contre une ordonnance du Tribunal judiciaire de Nîmes a été effectué dans les délais légaux. Les décisions relatives à la rétention administrative peuvent faire l’objet d’un appel, garantissant ainsi le droit à un recours effectif. En cas de violation des formes prescrites par la loi, le magistrat ne peut prononcer…
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L’appel interjeté par Monsieur [J] est recevable, conformément aux articles L.743-21 et R.743-10 du Code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile. L’article L.742-5 prévoit que le magistrat peut être saisi pour prolonger le maintien en rétention au-delà de la durée maximale, notamment en cas d’obstruction à l’éloignement. La prolongation ne…
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Le juge judiciaire, saisi d’une demande de prolongation du maintien d’un étranger en zone d’attente, n’est pas compétent pour apprécier la légalité des décisions administratives de refus d’admission sur le territoire. Conformément aux articles L 342-1 et L 342-10 du Code de l’entrée et du séjour des étrangers, le maintien au-delà de quatre jours peut…
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L’appel interjeté par Monsieur [J] contre une ordonnance du Tribunal judiciaire de Nîmes a été relevé dans les délais légaux. Le droit d’être entendu est garanti, mais l’audition préalable au placement en rétention n’est pas imposée par les garanties procédurales. L’arrêté de rétention, motivé par des éléments de fait et de droit, ne constitue pas…
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Le juge judiciaire, saisi d’une demande de prolongation du maintien d’un étranger en zone d’attente, n’est pas compétent pour apprécier la légalité des décisions administratives de refus d’admission. Conformément aux articles L 342-1 et L 342-10 du Code de l’entrée et du séjour des étrangers, le maintien au-delà de quatre jours peut être autorisé par…
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L’article L 743-23, alinéa 1, du Code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile stipule qu’en cas d’appel manifestement irrecevable, celui-ci peut être rejeté sans convocation préalable des parties. Cette disposition vise à garantir une bonne administration de la justice en évitant des procédures inutiles lorsque les conditions de recevabilité ne…
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L’appel a été déclaré recevable, permettant à l’appelant de contester la décision de première instance. L’absence de production d’un laissez-passer consulaire a été rejetée comme moyen, ne constituant pas un élément pertinent pour la prolongation de la rétention. L’administration a démontré avoir effectué les démarches nécessaires pour obtenir ce document. L’appelant n’ayant pas justifié de…
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Le placement en rétention administrative d’un étranger en situation irrégulière est régi par le Code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile (CESEDA). La rétention peut être ordonnée lorsque l’étranger ne présente pas de garanties de représentation suffisantes pour assurer l’exécution d’une mesure d’éloignement. L’article L. 523-1 précise que la rétention…
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L’article L. 742-5 du Code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile précise les conditions de prolongation de la rétention d’un étranger. Cette prolongation est possible dans des situations exceptionnelles, comme l’obstruction à l’éloignement ou la demande d’asile. La prolongation ne peut être ordonnée que si des circonstances se manifestent dans…
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