L’enregistrement de la parole ou de l’image d’une personne en garde à vue constitue une atteinte à son intimité. La Cour de cassation a souligné que ces individus ne peuvent s’opposer à la présence de caméras, ce qui viole leur droit à l’image. De plus, l’article 226-1 du code pénal protège l’intimité de la vie privée, stipulant que l’enregistrement sans consentement est illégal. Dans un cas récent, un reportage diffusé sur W9 a révélé des informations sur un couple poursuivi pour proxénétisme, malgré des efforts d’anonymisation, entraînant une reconnaissance par des tiers.
Pour accéder à ce contenu juridique premium inscrivez-vous ici.