Monsieur [R] [F] a été placé en rétention administrative le 22 novembre 2024, suite à un arrêté d’obligation de quitter le territoire français. La notification de cet arrêté a été réalisée par téléphone avec un interprète, respectant ainsi les exigences légales. Malgré une contestation de sa rétention, arguant de moyens de retour vers la Roumanie, celle-ci a été déclarée irrecevable. Des préoccupations concernant son état de santé ont été soulevées, mais il a été prouvé qu’une visite médicale avait été proposée. La préfecture a ensuite demandé une prolongation de la rétention, jugée justifiée, pour une durée de 26 jours.
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