Madame [H] [E] et M. [C] [W] se sont mariés le [Date mariage 6] 2006 à [Localité 16], après avoir établi un contrat de mariage le 16 juin 2006 par l’intermédiaire de Maître [D], notaire à [Localité 14]. Ils ont deux enfants : [V], née le [Date naissance 10] 2004, et [F], née le [Date naissance 4] 2007.
Procédure de divorce
Le 31 janvier 2023, Madame [H] [E] a assigné M. [C] [W] en divorce, invoquant l’article 237 du Code civil pour demander des mesures provisoires. Le 10 mai 2023, le tribunal a statué sur plusieurs mesures, notamment la résidence séparée des époux, la jouissance du logement familial par M. [C] [W], et la fixation d’une pension alimentaire de 1000 euros.
Ordonnance sur mesures provisoires
L’ordonnance a également stipulé que M. [C] [W] assumerait les charges liées à la maison secondaire et gérerait le patrimoine indivis, reversant à Madame [H] [E] la moitié des revenus locatifs. L’autorité parentale a été exercée en commun, avec une résidence alternée pour l’enfant mineur et une contribution de 300 euros pour l’entretien des enfants.
Demandes des parties
Dans ses dernières écritures du 25 septembre 2024, Madame [H] [E] a demandé le prononcé du divorce, la reprise de son nom patronymique, et a proposé des solutions pour les désaccords concernant les biens et les créances. M. [C] [W] a également sollicité le divorce et a formulé des demandes similaires, notamment concernant les créances et la prestation compensatoire.
Décision du tribunal
Le tribunal a prononcé le divorce le 29 janvier 2025, en fixant les effets du divorce au 31 janvier 2023. Il a ordonné l’ouverture des opérations de liquidation et a statué sur les créances respectives des époux, ainsi que sur la prestation compensatoire de 80 000 euros due par M. [C] [W] à Madame [H] [E].
Autorité parentale et contributions
L’autorité parentale a été confirmée comme étant exercée en commun, avec des modalités précises pour la résidence de l’enfant mineur et des contributions financières pour l’entretien des enfants, fixées à 150 euros pour chacun. Les frais de scolarité jusqu’à 9000 euros seraient pris en charge par M. [C] [W], avec un partage au-delà de ce montant.
Partage des dépens
Le tribunal a également décidé que les frais de l’expertise seraient partagés également entre Madame [H] [E] et M. [C] [W].
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