La dénonciation de faits de harcèlement sexuel soulève des questions complexes entre le droit de critique et la diffamation. Dans une affaire, une actrice a informé son équipe par email que son départ était dû à des actes de harcèlement de la part du metteur en scène. Bien que cette imputation soit précise et potentiellement diffamatoire, la comédienne a bénéficié de l’excuse de bonne foi. Cependant, elle n’était pas en droit de dénoncer ces faits à la personne concernée, car la loi protège uniquement les dénonciations faites à l’employeur ou aux organes compétents.
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