Un salarié de France Télévisions a été condamné pour diffamation non publique par email après avoir accusé une collègue de consommer de l’alcool de manière excessive lors d’un déplacement professionnel et de stocker des bouteilles sur son lieu de travail. Ces allégations, insinuant un comportement régulier d’alcoolisme, portent atteinte à l’honneur de la salariée et sont contraires à la loi et à la déontologie. La cour a jugé que ces propos étaient clairement diffamatoires, car ils concernent des faits précis susceptibles de nuire à la réputation de la personne visée.
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