Monsieur [G] [Z], ressortissant marocain, a été soumis à plusieurs mesures administratives en France, incluant une obligation de quitter le territoire et une interdiction de séjour. En novembre 2022, il a reçu une obligation de quitter le territoire, suivie d’une condamnation à un an de prison pour violences aggravées en avril 2024. Placé en rétention administrative, sa situation a été prolongée en raison de son obstruction à l’exécution de l’éloignement. Le juge a constaté que sa présence constituait une menace pour l’ordre public, décidant ainsi d’accorder une prolongation de la rétention pour quinze jours supplémentaires.
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