Monsieur [N] [W], ressortissant malien, a été soumis à une obligation de quitter le territoire français par le Préfet de l’Aisne le 15 octobre 2024. Suite à cela, un arrêté de placement en rétention administrative a été émis le 22 octobre 2024. Le 29 novembre, le Préfet a demandé une prolongation de cette rétention, invoquant l’impossibilité d’exécuter la mesure d’éloignement en raison du retard dans la délivrance du laissez-passer par les autorités maliennes. Le tribunal a validé cette prolongation pour une durée maximale de trente jours, à compter du 30 novembre 2024, tout en informant Monsieur [N] de son droit d’appel.
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