Monsieur [X] [F], de nationalité algérienne, a reçu une obligation de quitter le territoire français le 13 juin 2024, suivie d’une rétention administrative de quatre jours à partir du 27 septembre 2024. Le 25 novembre 2024, le Préfet a demandé une prolongation de cette rétention, invoquant l’obstruction de Monsieur [F] à des rendez-vous consulaires. Ce dernier a sollicité l’assistance d’un avocat, évoquant des problèmes de santé et un hébergement proposé par France Terre d’Asile. Malgré l’absence de condamnation dans son casier judiciaire, le juge a décidé de prolonger la rétention pour quinze jours, autorisant ainsi la demande préfectorale.
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