Monsieur [Y] [I], de nationalité tunisienne, a été placé en rétention administrative par le Préfet du Pas-de-Calais suite à une décision de reprise en charge. Le 29 novembre 2024, le Préfet a demandé une prolongation de cette rétention, invoquant des raisons de sécurité publique. Cependant, le juge a constaté l’absence de menace à l’ordre public et a souligné le manque de preuves concernant la rapidité de délivrance du laissez-passer consulaire. En conséquence, le tribunal a rejeté la demande de prolongation, ordonnant la libération de Monsieur [Y] [I] dans les vingt-quatre heures.
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