Monsieur [J] [E] [K], ressortissant irakien, a été soumis à une interdiction de territoire français et placé en rétention administrative. Le 29 novembre 2024, le Préfet du Pas-de-Calais a demandé une prolongation de cette rétention pour 30 jours, justifiant l’absence de garanties de représentation. L’intéressé, assisté par son avocat, a exprimé son souhait de retourner dormir, soulignant son incertitude quant à sa libération. Le tribunal a constaté que les autorités irakiennes n’avaient pas délivré le laissez-passer requis et a décidé d’accorder la prolongation, tout en informant Monsieur [J] [E] [K] de son droit d’appel.
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