M. [U] [X] et Mme [B] [C] ont acquis une parcelle de terrain en juin 2020, découvrant par la suite la présence d’une plante invasive, la renouée du Japon. En juillet 2022, un protocole d’accord a été signé avec la SARL Agence du littoral, stipulant que le vendeur financerait un robot de tonte. Face à la persistance de la plante, les acquéreurs ont demandé des travaux supplémentaires en mai 2023, mais la SARL a contesté cette demande. En septembre 2023, ils ont assigné la SARL en justice pour obtenir réparation, mais leurs demandes ont été rejetées par le tribunal.
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