Le dirigeant d’entreprise décédé en 2016 laisse derrière lui une veuve, une fille issue d’une première union, un fils d’une relation antérieure et une fille adoptive. Selon l’acte de notoriété, la succession comprend l’épouse, la fille, le fils et la fille adoptive. Par testament, le défunt a légué l’universalité de ses biens à son épouse et à ses filles. En 2019, l’épouse a notifié son intention d’opter pour un quart en pleine propriété et trois quarts en usufruit. Cependant, les héritiers contestent la validité du testament, arguant que le défunt était dans un état d’insanité d’esprit.
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