M. X, de nationalité algérienne, a reçu un arrêté préfectoral le 14 février 2024 lui imposant une obligation de quitter le territoire français. Placé en rétention administrative le 4 janvier 2025, il a interjeté appel de la prolongation de sa rétention. Lors de l’audience, il a exprimé son souhait de rejoindre son épouse en Espagne, tout en signalant l’absence de documents d’identité. Le Préfet a soutenu que M. X ne présentait pas de garanties suffisantes pour une assignation à résidence. La cour a finalement confirmé la prolongation de sa rétention, considérant que les conditions légales étaient remplies.
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