Mme [M] [U], ressortissante marocaine résidant en France depuis quinze ans, a perdu son titre de séjour suite à un divorce dont elle n’a pas été informée. Le 24 octobre 2024, un arrêté d’expulsion a été émis à son encontre, entraînant sa rétention administrative. Malgré ses appels, le tribunal a confirmé la prolongation de sa rétention, arguant que l’administration avait respecté ses obligations. La décision a été notifiée, laissant à Mme [M] [U] la possibilité de former un pourvoi en cassation dans un délai de deux mois.
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