M. [L] [N], ressortissant géorgien, a été placé en rétention administrative le 20 novembre 2024, après un arrêté d’obligation de quitter le territoire français. Il a contesté cette décision en appel, soulevant des moyens tels que la tardiveté de la notification de ses droits et l’irrégularité de l’interprétariat. Le tribunal a jugé l’appel recevable, mais a rejeté les moyens avancés, considérant que la notification avait été faite dans un délai raisonnable et que les preuves fournies par M. [L] [N] étaient insuffisantes. L’ordonnance de rétention a été confirmée, ainsi que le rejet de sa demande d’indemnisation.
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