M. [L] [X], de nationalité algérienne, a reçu un arrêté préfectoral le 26 septembre 2022 lui imposant une obligation de quitter le territoire français. Interpellé le 5 janvier 2025, il a été placé en rétention administrative. Contestant cette mesure, il a fait appel le 10 janvier, arguant de son état de vulnérabilité et de l’absence d’interprète lors de la notification de ses droits. Le tribunal a jugé l’appel recevable, mais a confirmé la légalité de la rétention, considérant que son état de santé pouvait être suivi en centre de rétention et que les démarches d’identification étaient en cours.
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