Le 29 octobre 2024, le préfet des Bouches-du-Rhône a ordonné le placement en rétention de Monsieur [O] [C], une décision notifiée le 30 novembre. Son avocat a contesté la légitimité de cette mesure, arguant que la requête de prolongation n’était pas conforme, notamment en raison de l’absence d’identification de la personne signataire. Malgré ces arguments, la préfecture n’a pas contesté la recevabilité de l’appel. L’ordonnance du juge a confirmé la rétention, considérant l’urgence de la situation en raison du passé criminel de Monsieur [O] [C], et les démarches pour son éloignement se poursuivent.
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