L’audience a permis d’entendre les observations de l’avocat, Me Emmanuelle LARMANJAT, concernant la situation de M. [P] [H]. Bien que le procès-verbal de notification des droits n’ait pas été traduit en arabe, son placement en rétention a été effectué dans les règles. La contestation de la décision de placement a été jugée irrecevable, car non formalisée par écrit. La préfecture a justifié la prolongation de la rétention par des démarches auprès des autorités consulaires d’Algérie. En conséquence, la demande d’assignation à résidence a été rejetée, et la prolongation de la rétention a été ordonnée pour vingt-six jours.
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