Mme [X] [C], préparatrice de commande à la SAS [5], a déclaré une tendinopathie et une épicondylite comme maladies professionnelles. La caisse primaire d’assurance maladie a reconnu ces affections le 5 janvier 2021, mais la SAS a contesté cette décision. Après un rejet par la commission de recours amiable, l’affaire a été portée devant le tribunal judiciaire de Nanterre. La SAS a soutenu que la durée d’exposition au risque n’était pas suffisante, tandis que la caisse a affirmé que les conditions de prise en charge étaient remplies. Finalement, le tribunal a statué en faveur de la caisse, déboutant la SAS.
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