Le 13 janvier 2025, un procès-verbal a révélé que la personne retenue ne souhaitait pas se présenter à l’audience. Lors de cette audience publique, le juge a examiné la légalité de la rétention, confirmant la régularité de la procédure selon le Code de l’entrée et du séjour des étrangers. Il a constaté que la personne avait été informée de ses droits et que l’impossibilité d’exécuter la mesure d’éloignement était due à l’absence de son document de voyage. Le juge a ordonné une prolongation de la rétention de trente jours, notifiée à l’intéressé avec des informations sur ses droits.
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