M. [W] [F], ressortissant libyen, a été soumis à un arrêté d’obligation de quitter le territoire français le 3 juin 2023 et placé en rétention administrative le 12 décembre 2024. Le 17 décembre, le juge a autorisé la prolongation de sa rétention, confirmée par la cour d’appel le 19 décembre. M. [W] [F] a interjeté appel, invoquant l’incompatibilité de son état de santé avec la rétention et l’insuffisance des diligences administratives. Bien qu’il souffre d’une fracture du nez nécessitant une intervention, aucune preuve n’a été fournie pour justifier son incompatibilité avec la rétention, qui dispose d’une unité médicale adéquate.
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