Le 20 août 2024, le préfet de la Loire a notifié à [C] [B] une obligation de quitter le territoire français, assortie d’une interdiction de retour d’un an. Le 5 janvier 2025, la préfète du Rhône a ordonné son placement en rétention administrative. Le 8 janvier, une demande de prolongation de cette rétention a été faite pour vingt-six jours. [C] [B] a contesté cette décision, affirmant avoir un hébergement stable, mais le juge des libertés a prolongé la rétention. Son appel, fondé sur des arguments déjà présentés, a été rejeté, confirmant la décision préfectorale.
Accéder immédiatement à ce contenu juridique Premium et Télécharger des modèles de contrats en illimité
Laisser un commentaire