Le 24 octobre 2024, une autorité administrative a ordonné le placement d’un étranger, désigné ici comme un retenu, en rétention dans des locaux non pénitentiaires. Ce retenu, né en 2003 et de nationalité iranienne, a vu sa situation examinée par un tribunal judiciaire, qui a prolongé sa rétention administrative pour une durée maximale de vingt-six jours. Le 29 octobre 2024, une cour d’appel a confirmé cette prolongation. Le conseil du retenu a contesté la décision, remettant en question l’efficacité des démarches de l’administration auprès des autorités consulaires iraniennes, tandis que le représentant de l’administration a justifié la rétention par des préoccupations d’ordre public.
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