La personne retenue a été informée de ses droits selon le Code de l’entrée et du séjour des étrangers. Lors de l’audience, le juge a confirmé la légalité de la rétention, constatant l’absence d’irrégularités. Bien que la personne ait été informée de ses droits, l’impossibilité d’exécuter la mesure d’éloignement était due à l’absence de document de voyage. La décision de prolonger la rétention a été justifiée par la nécessité d’exécuter cette mesure. Le juge a ordonné une prolongation de trente jours, avec des informations sur les voies de recours fournies à la personne retenue.
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