Monsieur [H] [S], ressortissant guinéen, a été placé en rétention administrative suite à une obligation de quitter le territoire français. Le Préfet du Finistère a demandé une prolongation de cette rétention, invoquant des raisons d’ordre public. Cependant, l’avocat de Monsieur [S] a contesté cette décision, soulignant l’absence de preuves concernant une menace réelle. Le tribunal a examiné la demande et a conclu que les critères pour justifier la prolongation n’étaient pas réunis. En conséquence, il a ordonné la libération de Monsieur [S] dans les vingt-quatre heures, tout en lui rappelant son obligation de quitter le territoire.
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