Monsieur [O] [L] [C], de nationalité tunisienne, a été placé en rétention administrative suite à un arrêté préfectoral notifié le 23 novembre 2024. Son avocat, Me Maeva Laurens, a contesté la légitimité de cette mesure, soulignant ses liens familiaux en France et le respect de ses obligations. Le représentant du Préfet a, quant à lui, affirmé que Monsieur [O] représentait une menace pour l’ordre public en raison de ses condamnations. Le tribunal a finalement rejeté les exceptions de nullité et a ordonné le maintien de Monsieur [O] en rétention pour 26 jours, tout en lui rappelant ses droits.
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