Monsieur [T] [X], de nationalité tunisienne, a été placé en rétention administrative après une obligation de quitter le territoire français. Le 3 janvier 2025, le Préfet du Nord a demandé une prolongation de cette rétention, justifiée par des antécédents judiciaires et des refus d’audition consulaire de la part de Monsieur [X]. Son avocate a contesté cette demande, soulignant l’absence de condamnation et le manque de preuves pour un éloignement rapide. Cependant, le tribunal a décidé de prolonger la rétention de quinze jours, considérant que l’intéressé avait fait obstruction à l’exécution de la mesure d’éloignement.
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