L’affaire concerne M. [J] [E] [B], un ressortissant colombien, placé en zone d’attente à l’aéroport de [1]. Le tribunal de Bobigny a ordonné sa libération le 2 janvier 2025, jugeant que le maintien n’était pas justifié. Cependant, le préfet de police a interjeté appel, arguant que le juge avait commis une erreur. La cour d’appel a finalement infirmé la décision initiale, estimant que le premier juge avait excédé ses pouvoirs. Elle a autorisé le maintien de M. [J] [E] [B] pour une durée maximale de huit jours, avec possibilité de pourvoi en cassation dans les deux mois suivant la notification.
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