Le 25 juillet 2022, la Cour d’appel de Montpellier a examiné l’affaire de Monsieur [D] [V], un ressortissant marocain, retenu dans un centre de rétention. L’appelant contestait la prolongation de sa rétention administrative, arguant de l’irrégularité de la procédure et du non-respect de ses droits. L’avocate a souligné l’absence de documents essentiels et la durée excessive de son placement. Cependant, le représentant du préfet a défendu la légalité de la décision, citant des infractions au code de l’entrée et du séjour des étrangers. La cour a finalement confirmé l’ordonnance de prolongation de rétention, rejetant les exceptions soulevées.
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