La requête, déposée le 25 novembre 2024 par le Préfet des Bouches-du-Rhône, concerne Monsieur [B] [F], né le 22 juin 2001 en Algérie, sous le coup d’une mesure d’éloignement. Placé en rétention le 21 novembre 2024, il conteste la procédure, arguant que ses droits n’ont pas été correctement communiqués en raison de l’absence d’interprète lors de son placement. L’avocat soutient que cela a entravé la compréhension de son client, tandis que le Préfet affirme que Monsieur [B] a signé des documents en français, prouvant sa compréhension. Le tribunal a rejeté les exceptions de nullité et ordonné le maintien en rétention.
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