Monsieur [B] [H] a été placé en rétention administrative le 2 décembre 2024, prolongée par le tribunal le 7 décembre. La Préfecture de l’Indre a demandé une nouvelle prolongation, invoquant l’article L.742-4 du Code de l’entrée et du séjour des étrangers, en raison de l’impossibilité d’exécuter la décision d’éloignement. Malgré des relances auprès des autorités consulaires d’Algérie, aucune réponse n’a été reçue. Le juge a constaté que l’état de santé de Monsieur [H] [B] était compatible avec sa rétention, et a décidé de prolonger celle-ci de trente jours supplémentaires à partir du 1er janvier 2025.
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