Monsieur [O] [M] est en rétention administrative depuis le 23 novembre 2024, sans contestation de la régularité de la procédure. Son conseil a tenté de contester l’arrêté de placement, mais cette démarche n’a pas été formalisée, la rendant irrecevable. La Préfecture du Finistère a demandé une prolongation de la rétention, justifiée par une décision judiciaire interdisant à Monsieur [O] [M] de séjourner en France pendant dix ans. Malgré des affirmations sur son état de santé, aucune preuve n’a été fournie. La préfecture a également pris les mesures nécessaires pour obtenir un laissez-passer consulaire. La prolongation a été acceptée pour 26 jours.
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