Le 27 novembre 2024, le préfet de l’Isère a ordonné le placement de M. [C] [K] [D] en rétention pour exécuter une mesure d’éloignement. Le 1er décembre, le juge des libertés a prolongé cette rétention de vingt-huit jours, décision confirmée en appel. M. [C] [K] [D] a interjeté appel le 30 décembre, arguant de l’absence de perspective d’éloignement en raison de la rupture des liens diplomatiques avec la Guinée. Cependant, ses observations ont été jugées tardives et irrecevables. L’appel a été déclaré recevable, mais les éléments fournis n’ont pas justifié la fin de sa rétention, qui a été confirmée.
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