Le 30 novembre 2010, une société de conseil en investissement a signé une promesse unilatérale de vente avec une vendeuse concernant un ensemble immobilier évalué à 2 305 000 euros. Le 18 février 2011, la municipalité a exercé son droit de préemption sur le bien pour 2 000 000 euros, visant à créer des logements sociaux. En avril 2016, un tribunal administratif a annulé cette décision, constatant des irrégularités. La société de conseil a alors saisi le tribunal, mais sa demande de dommages-intérêts a été rejetée, le tribunal estimant que la municipalité n’avait pas engagé sa responsabilité.
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