L’adaptation d’un ouvrage en film ne garantit pas le succès, comme le montre le litige entre la société EUROFILM et les EDITIONS JEAN-A B concernant « Le Banquier des pauvres ». EUROFILM a été jugée de mauvaise foi, ayant laissé le projet en suspens pendant des années avant de tenter de le relancer sans justification. De plus, le film réalisé ne respectait pas le scénario convenu et n’était pas exploitable en tant que long métrage. La cour a confirmé que la clause résolutoire du contrat était acquise, entraînant la résolution de celui-ci, et a débouté EUROFILM de ses demandes.
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