La musique instrumentale d’un feuilleton peut engendrer divers contrats d’exploitation, tels que ceux de composition ou d’adaptation audiovisuelle. Lorsqu’on y ajoute des paroles, l’auteur de l’œuvre originale doit être informé et donner son accord, même tacitement. Cette nouvelle version devient une œuvre composite, conférant aux paroliers le statut de coauteur. Ainsi, la collaboration entre compositeurs et paroliers est utilele pour respecter les droits d’auteur et garantir une exploitation légale de la musique de film. Cette jurisprudence souligne l’importance de la communication et de l’accord mutuel dans le processus créatif.
Pour accéder à ce contenu juridique premium inscrivez-vous ici.