Le 18 janvier 2025, le directeur de l’établissement public de santé a admis un patient en soins psychiatriques sans consentement, en raison d’un péril imminent pour sa santé. Cette admission a été suivie d’une décision le 20 janvier 2025, prolongeant l’hospitalisation complète pour un mois. Le 22 janvier, le directeur a saisi le magistrat du tribunal judiciaire pour obtenir la poursuite de l’hospitalisation, avec l’avis favorable du procureur de la République. Le magistrat a constaté que l’état de santé du patient ne lui permet pas de consentir aux soins, autorisant ainsi la poursuite de l’hospitalisation complète.