M. [Y] a été engagé par Ertedis en 2016, mais a été licencié pour motif économique en mai 2020. Contestant ce licenciement, il a saisi le conseil de prud’hommes, alléguant une collusion entre Ertedis et sa société mère, Add-one. Le 22 septembre 2022, le conseil a débouté M. [Y], qui a interjeté appel. La cour a finalement jugé que le licenciement était sans cause réelle et sérieuse, condamnant Add-one à verser 11 000 euros à M. [Y] et à rembourser ses allocations chômage. Les demandes de dommages-intérêts pour non-respect de la priorité de réembauche ont été rejetées.
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