Le 1er novembre 2024, une mesure de soins psychiatriques sans consentement a été instaurée pour Mme [V] [U] en raison de comportements dangereux. Le 25 novembre, le directeur du centre hospitalier de MEAUX a demandé le maintien de son isolement, enregistré au greffe. Placée en isolement depuis le 22 novembre, Mme [V] [U] présente des comportements hétéro ou auto-agressifs et une décompensation psychotique grave. La mesure, renouvelée par tranches de 12 heures, a été jugée justifiée par le tribunal, qui a autorisé son maintien, considérant qu’elle était nécessaire pour prévenir un danger imminent pour la patiente et autrui.
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