Le pigiste, Mme [C], a saisi le conseil de prud’hommes pour demander la résiliation judiciaire de son contrat avec PRISMA MEDIA, arguant qu’elle n’avait plus reçu de travail depuis avril 2018. La cour a constaté que l’employeur avait manqué à ses obligations essentielles, rendant impossible la poursuite de la relation de travail. En conséquence, la cour a prononcé la résiliation judiciaire du contrat, considérant cela comme un licenciement sans cause réelle et sérieuse. Mme [C] a été indemnisée pour licenciement, préavis et autres créances, tandis que PRISMA MEDIA a été condamnée à lui remettre les documents sociaux requis.
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